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Le rôle des ondes électromagnétiques dans la nouvelle guerre cognitive et asymétrique de cinquième génération

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Dans le courant de l’année précédente, nous avions été présentés à la “guerre cognitive” qui est le dernier procédé de l’OTAN pour remporter ses conflits externes ou internes de cinquième génération qui ont pour nouveauté d’être menés principalement par le biais d’actions militaires non cinétiques, telles que l’ingénierie sociale, la désinformation, les cyberattaques, ainsi que des technologies émergentes telles que l’intelligence artificielle et les systèmes entièrement autonomes. Nous la définissons également comme asymétrique car elle implique une disproportionnalité entre les belligérants qui sont d’une part des états lourdement équipés et des populations sans défense d’autre part.

Comme expliqué dans cet article, le but poursuivi est de transformer tout citoyen en une arme et de “pirater l’individu” à travers une guerre contre sa cognition en influençant le processus par lequel il arrive à des idées, des intuitions, des croyances, des choix et des comportements. Ce n’est donc pas une simple guerre de l’information où l’on attaque ce que l’individu cible pense mais comment il pense et un large éventail de sciences comme la psychologie, la linguistique, la neurobiologie, la logique, la sociologie, l’anthropologie, les sciences du comportement, “et plus encore” sont exploitées. Insatisfaits des résultats des différents conflits à travers l’histoire, les théoriciens de cette nouvelle forme de guerre visent à la “conversion idéologique” des peuples vaincus pour assurer une réussite pérenne.

Si la couleur a été annoncée assez tôt, peu de précisions nous ont été parvenues sur les procédés et techniques employés pour mettre en œuvre cette forme assez inquiétante de combat si ce n’est l’utilisation des neurosciences et neurotechnologies (NeuroS/T) et d’interfaces cerveau-machine. Les informations vitales nous viennent de lanceurs d’alerte ayant travaillé dans ce domaine et actuellement adversaires de leur implémentation comme Nick BEGICH, scientifique américain ayant travaillé dans les études sur le contrôle mental et Robert DUNCAN également scientifique américain ayant travaillé pour la CIA dans le même domaine ainsi que des victimes des expérimentations de par le monde pour la mise au point de ces technologies qui se définissent comme individus ciblés (anglais : targeted individuals). Ils affirment qu’elles utilisent des ondes électromagnétiques et sont capables de surveiller les ondes cérébrales des cibles, de lire dans leurs pensées (sic) et même d’influencer leur comportement. Cela est le fruit d’années de recherches sur la psychotronique, terme non repris par les dictionnaires français et anglais.

Une technologie dissimulée

Dans cette vidéo, le docteur Nick BEGICH et le spécialiste des micro-ondes ayant travaillé avec le MI5 (renseignement britannique) Barrie TROWER dévoilent ces neurotechnologies en affirmant qu’il est possible de lire dans les pensées des cibles, de leur envoyer des messages subliminaux et de leur infliger des pathologies psychiatriques (entente de voix, psychoses…).

Le scientifique américain Richard LIGHTHOUSE ayant travaillé avec la NASA affirme que les neuro-armes peuvent être à la fois statiques dans les satellites et antennes-relais ou portables incorporés à notre insu dans les smartphones et PC, ainsi il est également possible d’irradier avec une énergie dirigée à haute intensité (2,6 GHz et bientôt plus avec la 5G) des individus ciblés. Des militaires peuvent également en disposer. Richard LIGHTHOUSE avance que la haute propension de la population à se faire vacciner volontairement et leur indifférence aux vagues de réinformation ont été influencées par la grille de contrôle mental.

Une série de brevets disponibles sur internet attestent de ces technologies, bien que nombreux d’entre elles aient été censurées pour raison de secret défense. Nous pouvons citer celui du monitoring neuronal à distance (anglais : remote neural monitoring – RNM) n° US3951134A, ce procédé permet de surveiller et d’altérer les ondes cérébrales à distance sans utiliser d’électrodes. Le brevet US6011991A atteste l’utilisation des satellites pour lire dans les pensées des cibles. Les victimes d’expérimentations de ces neurotechnologies se plaignent de problèmes cognitifs comme des pertes de mémoire, de concentration mais surtout de rêves ou cauchemars étranges, de voix implantées, d’insomnies, d’épuisement chronique, de dysfonctionnements cardiaques, de brûlures et de douleurs intenses généralement diagnostiquées comme fibromyalgie alors qu’en réalité elles souffrent de harcèlement électromagnétique ou cybertorture. Cette dernière méthode de violences intraçables et indétectables ont été pour la première fois en partie évoquée par les nations-unies en 2020-21 par le rapporteur spécial à la torture Nils MELZER.

Le « cybermeurtre », nouvel atout contre l’opposition

Cela peut être employé par les détenteurs de cette technologie pour infliger un meurtre lent (anglais : “slow kill”) ou un “cybermeurtre” maquillable en AVC, crise cardiaque ou cancer, Barrie TROWER avait confirmé cette potentielle utilisation. Plusieurs victimes de cette nouvelle forme de torture et d’élimination la dénoncent, à commencer par le militant Frederic LAROCHE, sur qui a été appliqué la technologie S.A.T.A.N en 2022 (Silent Assassination Through Amplified Neurons – assassinat silencieux par neurones amplifiés) pour avoir dénoncé le rôle des nanoparticules présents dans les vaccins pour mettre en place un agenda transhumaniste de contrôle mental et électromagnétique. Il a survécu à ces attaques mais a décidé de cesser ses activités de lanceur d’alerte suite à ces menaces. D’autres n’ont pas pu bénéficier de cette chance, les docteurs autrichien Andreas NOACK et italien Domenico BISCARDI sont fort potentiellement décédés suite à une attaque électromagnétique visant à stopper leurs divulgations au sujet de la pandémie et des vaccins expérimentaux (respectivement découverte de graphène et de nanoparticules).

Une autre utilisation moins occultée est celle des ADS (Active Denial Systems – systèmes de refus actifs) qui sont des dispositifs mobiles équipés de canons à micro-ondes pour disperser des foules. Ils ont été utilisés l’année dernière sur des manifestants en Australie.

Agenda Transhumaniste

Klaus Schwab et le WEF sont ouvertement et manifestement transhumanistes. De nombreux membres du personnel du WEF ont été interviewés et ont donné des conférences où ils ont ouvertement discuté de l’implantation et de l’augmentation humaines, comment cela affectera la nature humaine et s’intégrera à une économie entièrement nouvelle que Klaus Schwab appelle la quatrième révolution industrielle. Ainsi il affirme que la grande réinitialisation « conduira à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique », L’intensité des agressions électromagnétiques est proportionnelle à la quantité de métaux lourds présents dans l’organisme, ainsi durant des décennies nous avons été soumis à des injections d’aluminium et de mercure à travers la vaccination et plus récemment le graphène composant hautement susceptible aux CEM (Champs Électromagnétiques) a été introduit. La combinaison de ces CEM et des métaux lourds augmentent la vulnérabilité à la future guerre qui se profile et les préparatifs ne datent clairement pas d’hier. Ainsi tout les individus ciblés ne souffriront pas des mêmes agressions à la même intensité mais le spectre planera désormais sur toute forme de dissidence. Il est donc vital d’alerter l’opinion publique et d’exiger la cessation de ces technologies par les complexes militaro-industriels du monde entier même s’il est à prévoir qu’ils nieront leur existence.

Pour approfondir : ICENI Bulletins

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen